Faire le tour du monde, ce n’est pas que faire des rencontres merveilleuses et vivre des expériences extraordinaires. Zoom sur les moustiques au Kenya.
Faire le tour du monde, ce n’est pas que faire des rencontres merveilleuses et vivre des expériences extraordinaires. Zoom sur les moustiques au Kenya.
Il y a aussi les petits tracas et les bobos comme des piqûres de moustiques qui peuvent devenir source de stress. C’est dans ces moments-là qu’une bonne assistance est utile. Julie, qui était au Kenya, nous raconte sa petite mésaventure.
Julie témoigne sur les moustiques au Kenya
“‘ Lorsqu’on est à 6000 km de chez soi et qu’on fait une allergie aux piqûres de moustiques, l’assistance, ça rassure.
J’avais déjà fait une allergie aux piqûres de moustiques lorsque je vivais en Italie. En résumé, lorsque je suis piquée de nombreuses fois, les piqûres se transforment en grosses cloques d’eau. A priori, puisque je connais la situation, ça n’a rien d’inquiétant. Sauf lorsqu’on est au milieu des montagnes tanzaniennes, que le dispensaire n’est pas ouvert le week-end et que la cloque d’eau fait la taille d’une balle de ping-pong.
Après plusieurs tentatives de persuasion, Michel me convainc d’envoyer un petit e-mail avec une photo à Europ Assistance. Il connaît mon côté légèrement hypocondriaque et sait que, même si ce n’est probablement pas très grave, je vais stresser tant que ça ne sera pas fini. Et dans ces cas-là, en effet, recevoir un appel d’un infirmier de Belgique un samedi, ça rassure. Partant pour 1 an, j’ai bien entendu la pharmacie de base avec moi, et depuis le début, nous badigeonnons mes cloques d’iso-béthadine. Ce qui m’inquiète, c’est que l’une des cloques est très sombre à l’intérieur, presque noire, même si ça reste localisé. “Vous n’avez pas de fièvre, pas d’autres symptômes?” me demande l’infirmier. Non, je me sens très bien, les cloques piquent un peu mais simplement comme si la peau était irritée. “Ok, alors pour l’instant, continuez à désinfecter les cloques 3x par jour, matin, midi et soir, c’est le bon réflexe. Evitez l’eau stagnante. Si vous avez de la fièvre, trouvez un médecin. Sinon, je vous rappelle lundi pour voir l’évolution.”
Le lundi, sans faute, je reçois un nouvel appel de l’infirmier. Tout évolue bien, l’une des cloques commence à sécher et la tache noire de l’autre s’atténue. “Très bien. Vous n’avez pas d’autre symptôme?”. Non, non, ça a l’air en bonne voie. “Alors, on se rappelle vendredi et si tout va bien, on clôra le dossier”. Et comme promis, le vendredi : “Bonjour, vous allez bien?”. Les cloques ont séchées, il n’y a pas d’infection et tout va bien. “Parfait, alors on va clôre le dossier. Vous allez où après?” Heu… en Asie du Sud-Est en pleine saison des pluies. “Ha oui, vous allez en voir des moustiques”. Ben oui. “Bon, soyez prudente. Surtout à la tombée de la nuit, c’est à ce moment-là qu’ils piquent le plus. Mettez de l’anti-moustique et essayez de vous couvrir, notamment les pieds”. Ben oui, les moustiques, ça aiment les pieds, surtout les miens. Vive les chaussettes.
C’était une mésaventure pas très grave. Une allergie aux piqûres de moustique, il n’y a pas de quoi s’affoler. Pas besoin d’hospitalisation ou de rapatriement. Mais dans ces cas-là, l’assistance, c’est aussi un soutien et l’assurance que l’on est suivi, même depuis l’Europe, lorsqu’on est loin de bonnes structures médicales. Bref, merci Europ Assistance de nous soutenir.”
Heureusement, en tant qu’assisteur de Michel et Julie, nous n’avons pas dû intervenir sur place. Nous continuons bien entendu à les suivre tout au long de leur périple et leur donnerons nos bons conseils si nécessaire. Leurs remerciements nous vont droit au coeur!